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À LA DÉFENSE

DE LA LOI SUR LA

LAÏCITÉ DE L'ÉTAT

Pour une
école publique
laïque!

La défense

Le Mouvement laïque québécois est représenté par

Me Luc Alarie secondé par Me Guillaume Rousseau.

 

Me Alarie a représenté le Mouvement laïque québécois devant la Cour suprême du Canada dans l'affaire de la prière municipale à Ville de Saguenay. Ce jugement unanime en faveur du MLQ a d'ailleurs servi à orienter l'actuelle Loi québécoise sur la laïcité de l'État.

 

Me Rousseau est avocat et professeur de droit agrégé à l'Université de Sherbrooke.

 

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La voix des parents

L’intervention du MLQ autorisée par le tribunal a été entreprise afin de faire valoir l’intérêt et le droit des parents sur l’éducation de leurs enfants à l’école publique alors que les contestataires de la loi ne font valoir que les droits des enseignants, des directions d’écoles et des syndicats.

 

Parce qu'ils sont les principaux intéressés à recevoir des services éducatifs par du personnel enseignant selon les normes définies notamment par l’article 6 de la Loi sur la laïcité de l’État, les parents et les élèves du Québec doivent voir leur intérêt être représenté devant la Cour. 

Avec l'intervention du MLQ, les parents d'élèves pourront être entendus par le tribunal. Cette présence est essentielle à l’occasion de la contestation d’une loi qui est présumée leur conférer des avantages dans la prestation des services éducatifs par du personnel enseignant à l’école publique.

'' Devant la cour, le Mouvement laïque québécois est la seule partie qui fera valoir les droits des élèves et de leurs parents dans l’application de la Loi sur la laïcité de l’État de manière à garantir le droit des parents d’assurer l’éducation morale et religieuse de leurs enfants comme prévu à l’article 41 de la Charte des droits et libertés de la personne'' - Me Luc Alarie

"Contrairement à ce que prétendent les opposants à la laïcité, la Loi sur la laïcité n’enlève pas des droits, elle en donne. Son article 4 prévoit explicitement que toute personne a « droit à des institutions (…) [et] des services publics laïques ». Et il s’agit d’un droit fondamental liée à une liberté fondamentale, la liberté de conscience".  -Me Guillaume Rousseau

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